Et maintenant . . . Qu'allez vous faire de moi . . ? [ Kamijoooow~ ]

Ayuki - « P..Parce que...Un humain déguisé en lapin...Ça cours pas les rues..Maître.. »

Fit-je d'une petite voix pas très sûre
de ce qu'elle disait. Mais après tout, je ne disais rien de mal, je
répondais juste à la question que mon maître me posait. Le vampire
revint à la charge sûr moi. Ses mains me firent encore frissonner,
ses mains glacées et fines contre ma peau chaude. Pourquoi
produisait-il cet effet sûr moi ?! Je me retrouvais collé contre
mon maître alors que ses lèvres dans mon cou me faisaient lâcher
un petit gémissement contre ma volonté. Je recommençais à durcir.
Pourquoi avait-il tant d'effet sûr moi, je comprenais toujours pas.
. . Mais je n'étais pas si naïf, t réalisais que finalement,
c'était simplement parce qu'il m'attirait, parce qu'il m'excitait.

Ayuki - « M. . . Maître. . »

Fis-je, hors de moi. C'était un
supplice, et cet appel le suppliait d'arrêter de me torturer.
Finalement, mon maître se détacha et me dit qu'on sortaient.
Avait-il tout prévu ? Avait-il prévu que je durcirais,et que mon
vêtement serré serait déformé de ce fait. Deux hontes s'offraient
à moi sans scrupule. La légèreté de ma tenue et le fait qu'elle
soit en plus déformée par une bosse. Et j'allais devoir sortir
ainsi. Je demandais d'une voix tremblante.

Ayuki - « P-Pourrais-je juste..A-Aller aux..Aux toilettes..Avant..? »

"Oh mais avec moi, si. personne ne sera surprit."

Annonça amusé sa Majesté, toujours prêt de son lapin.
Il continuait à faire monter le désir de la petite chose.
Il le sentait, et au moment où il se recula, il le vit.
Son petit Ayuki était plein... dirons nous...
Il lui demanda même d'aller aux toilettes avant.

"Hmm... non... sois tu restes ainsi pour notre promenade..."

Il réfléchissait au fur et à mesure qu'il parlait.

"Sois tu fais ça devant moi ^^."

Oui c'était la solution qui plaisait le plus au Roi vampire...

Il dit qu'avec lui, personne ne serait
surpris. C'était donc une de ses habitudes ? Il fallait croire. Je
n'étais après tout qu'une victime de plus. La torture ne s'arrêtait
pas, et mon maître continuait de m'exciter encore et encore. A tel
point que c'était douloureux. Ma seule requête qui fût d'aller aux
toilettes pour me soulager fût refusée, mais deux options me furent
donner. Étant donné que j'étais déjà ridicule et mort de honte,
sortir dans cette tenue serait encore pire. Sans oublier la douleur.
Et puis, il m'avait déjà vu le faire, alors. . . Une fois ou deux,
ça change rien.

Je ne dit rien, et m'allongea sûr le
lit, ayant avant fait tombé le maillot. J'écartais les cuisses,
dévoilant mon membre tendu à l'extrême devant le Roi. J'essayais
d'oublier sa présence, et commençait alors à me toucher devant
lui. Je ne pût cependant pas retenir mes gémissements e plaisir et
de soulagement.

Ayuki - « Haaah~ Maî...Maître~ »

Je me cambrais sous mon propre plaisir,
les yeux embués, la respiration haletante, et le visage rougis. Je
ne savais pas à quel point ce spectacle pouvait être..Sexy.

Kamijo s'appuya au mur en face du lit.
Et là, il regarda le spectacles que lui donnait Ayuki... Oh gosh...
Il était tellement désirable. Kamijo sentait que son corps n'était pas indifférent.
Il voulait se faire ce petit lapin très rapidement!
Et Ayuki n'y échapperait jamais c'était totalement certain.
Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, Kamijo pensa à autre chose.

Il regarda Ayuki jouir et se lécha les babines.

"Maintenant... Si tu veux pouvoir porter un haut pour sortir... il va falloir que tu t'occupes de ton roi..."

Dit-il juste assez fort pour qu'Ayuki l'entendre.
Et bien il lui avait donné envie aussi hein...

J'avais presque oublier la présence de
mon maître, me noyant dans le plaisir que me procurait ma main, que
j'activais de plus en plus rapidement sûr mon membre dressé. Ce que
ça faisait du bien . . ! Surtout quand ça en venait à un point où
ça faisait mal, se soulager était vraiment bon. Et c'était mon
cas, alors il me semblait normale que je prenne tant de plaisir ! Je
me déversa entre mes doigts en un cri de jouissance, et repris ma
respiration doucement, attrapant un mouchoir pour essuyer ma
substance.

J'allais pour me rhabiller quand mon
vêtement s'échappa d'entre mes doigts. Mon maître l'avait éloigné
de moi pour que je ne puisse m'en saisir. Puis j'entendis mon maître
dire que si je ne voulais pas sortir à moitié à poil, je devais
lui faire une fellation. Parce que oui, je savais très bien que ça
revenait à ça. Tout ça me rappelait mon pénible passé. Les viols
de mon père. Au moins, pour sûr, je savais faire ce que ce Roi me
demandait. Presque avec automatisme, comme une machine, je m'avançais
et tombait à genoux devant Kamijo, baissant son pantalon, puis son
boxer avant d'aller embrasser son gland, le mordiller, le
léchouiller, puis le prenant finalement en bouche. Il était plus
conséquent que celui de mon père. Je me retenais de partir en
courant. Même si je gardais tout au fond de moi, je souffrais le
martyre. Pour essayer d'oublier tout mes mauvais souvenirs,
j'accélérais, fermant les yeux.

Ayuki était tellement obéissant, c'était géniale!
Pauvre Kamijo avait plutôt l'habitude des crises d'Hizaki qui le fatiguait.
Avec le chaton qu'il avait recueillit, il était beaucoup mieux servit.
Appuyé au mur, le roi laissa faire à son esclave sa besogne.
Une main agrippée à ses cheveux, il gémissait.

Bah ouais ce petit était sacrément doué c'était pas sa première fois!
D'un côté, ça faisait chier Kamijo... De l'autre, c'était parfais.
Finalement, il jouit entre les lèvres de l'humain et se rhabilla.

"remet ta tenue de lapin." Ordonna-t-il finalement.

Puis, il lui donna l'une de ses chemises. "T'as cas mettre ça par dessus."

Pour sûr je ne me permettrais pas de
contredire mon maître ou de désobéir à ses ordres ! Malgré ma
situation, je tenais encore à la vie. Et Kamijo ne s'en plaignait
pas. Au contraire. Cependant, en me forçant plus ou moins à lui
faire ça, Kamijo avait éteint quelque chose en moi. L'espoir.
L'espoir d'oublier tout ce que j'avais vécu, d'être peut-être
heureux en tant qu'animal de compagnie. Mais finalement, je servais
encore de salope de service, de vide-couilles.

J'avalais le liquide sans rechigner, et
obéit aux ordres, toujours sans dire un mot. Je n'avais pas envie de
parler. Et sima bouche devait servir à le soulage, alors elle ne
servirait plus qu'à ça. Je me rhabillais et enfilait la chemise. Je
baissais la tête et allait à sa suite.

C'était presque triste, de voit comme Ayuki souffrait.
Mais Kamijo n'avait jamais dit qu'il le traiterait particulièrement bien.
Et il en avait prévu des vertes et des pas mûres pour son petit chaton...
Enfin, son lapin pour l'instant.
Un lapin en chemise, c'était mignon.
Il ne l'accrocha même pas une fois sortit dans les couloirs du château.
Pourquoi faire? Il avait confiance en Ayuki. Il était bien dressé.

Il faisait jour, et Kamijo n'était pas du genre à apprécier sortir par ce temps.
Il était vraiment sensible au soleil... Deux heures étaient déjà trop.
Mais c'était déjà mieux que Ryo qui ne le supportait pas du tout.
Les vampires étaient plus ou moins sensible.
Bref, ils sortirent quand même se promener dans les jardins du palais.
Vides. En même temps, pourquoi y aurait il du monde?

"Tu n'as cas aller te promener, je reste ici."

Annonça le roi en s'adossant à un arbre.

Je ne m'attendais pas à ce qu'il me traite particulièrement bien, mais pourtant je ne savais pas pourquoi, un part de moi était déçue. Peut-être m'attendais-je à mieux, à un peu plus de considération de la part d'un Roi ? Alors que au contraire, fac eau Roi, je ne suis rien, donc j'aurais dû m'attendre être traîté comme un moins que rien. Pour la première fois, mon incohérence me faisait peur. Je devait juste cesser de penser que moi, le petit moins que rien, serait heureux un jour ou l'autre. J'étais à présent entre les griffe du vampire qui régnait sûr les autres, le pire. Je venait simplement d'ouvrir les yeux sûr ma véritable condition. Plutôt de voir cela comme un honneur, à présent, je voyait cela comme un contrat de mort.

Le soleil. C'était la première fois que je le revoyait depuis mon arrivée, cela me faisait un bien énorme d voir que parmi cette pénombre, notre Astre gigantesque continuait de réchauffer la planète et d'éclairer mon monde. Oui, cela m réchauffait le coeur, quelque part. Parce que le soleil a toujours été la seule chose qui restait présente dans ma vie. Le jardin où il me mena était vide, il me dit de partir, et je ne me fit pas prié. Je me laissais glisser contre un arbre et regardait le soleil, chantonnant faiblement, pour finalement me mettre à pleurer.

Lorsque mes sanglots furent calmés, je retournais près de mon maitre qui n'avait pas bougé. Je cachais mes yeux un peu rougis en les baissant.

Ayuki - « Me revoilà.. »

"T'en as mis du temps!"

Fit remarquer le roi en soupirant.
Finalement il se redressa et les deux reprirent la route des appartements du roi.
Il n'aimait vraiment pas être au soleil alors ça le mettait de mauvaise humeur.
D'ailleurs il avait l'air tendu le pauvre.
Du coup une fois dans l'appartement il partit pour se faire un bain.

Et puis l'idée qu'il allait devoir retourner travailler...
Ca le fatiguait d'avance, il préférait jouer avec Ayuki.
De toute façon Kamijo avait toujours préféré jouer.

Le roi semblait de terrible humeur lorsque que je revint près de lui. Je m'inclinais bas et barbouillait des excuses.

Ayuki - « Dé..Désolé..M..Maître.. »

Je baissai la tête et suivait alors mon maitre à travers le palais luxueux qui était le sien. Au moins, j'aurai vécu dans un superbe endroit luxueux avant de mourir. C'est ce que je me disait à l'époque. Heureusement, lorsque nous sommes rentré, il partit directement dans son bain et m laissa tranquille un moment. J'en profitait pour retirer le serre-tête un moment, parce que cela devenait douloureux. Je massais mon crâne en soupirant doucement.

Ayuki - « Aah..Ça fait du bien.. »

Kamijo se prélassait donc tranquillement.
Ca le calmait d'être dans son bain comme ça sans problème.
Il resta d'ailleurs dedans une bonne heure.
Et enfin il finit par en sortir, enfilant un peignoir.
Il retourna dans le salon.

"Va mettre ta tenue de chat."

Ordonna-t-il simplement en s'installant dans son fauteuil.
Il le préférait en chat.
Et surtout, il préférait les chats xD.
Il voulait câliner sa bestiole : p

Lorsque j'entendis que Kamijo s'apprêtait à sortir de son bain, je remit ma tenue en place, et m'étira, m'asseyant pour être un peu plus présentable. Il ne fallait surtout pas que mon maître pense que je me négligeait ! Non, cela réduirait encore mon existence de vie ! Mon maître m'ordonna d'aller me changer en chat.

Ayuki - « Ou-Oui maître.. »

Quoi d'autre, de toute façon ? Comme si je pouvais refuser.. Je vais donc me changer, t fait attention à être absolument parfait, pour ne pas prendre de risque. Puis je revint me mettre face à mon maître une fois changé.

Ayuki - « Me revoilà... »

Kamijo s'étira et attendit donc le retour de son petit chat qui ne tarda pas.
Il s'était vraiment fait tout beau et c'était trop mignon.
Le roi prit la main d'Ayuki et le fit s'asseoir à ses pieds.
de la il lui caressa la tête tel un véritable chat xD.

"Je vais aller bosser demain. Il va falloir que tu te prépares à mon absence."

Bah oui il serait loin et Ayuki pourrait en souffrir.
Mais le bon côté c'était que normalement si il apprend à le travailler,
il aura moins mal ^^".

Effectivement, je ne tardai pas à revenir vers mon maître, parfaitement habillé. Par chance, la tenue de chat me faisait moins souffrir que celle du lapin. Celle du lapin contenait en effet un serre-tête qui était vraiment désagréable, alors que les oreilles de chat se clipaient simplement sûr les cheveux, alors c'était ainsi bien mois douloureux et beaucoup plus supportable.
Bientôt, mon maitre m'attira à terre par la main, et se mit à me caresser la tête. J'étais redevenu le chat domestique. Kamijo annonça que le lendemain, il ne serait pas là. Toute la journée. Merde. Je vais morfler, vraiment. L'angoisse dût se ressentir dans ma voix lorsque je répondais.

Ayuki - « B-Bien..M-Maître.. »

Que pouvais-je dire d'autre après tout ? Je ne pouvais que subir, j'appréhendais. Cette douleur qui me torturait allait encore revenir, si facilement, si rapidement. Si forte et envahissante, je sais pourtant que cela ne me tuera pas. Ce n'est que de la torture, de la douleur gratuite. J'étais terrifié. Je tremblais même à cette seule idée, en souvenir de la dernière fois. Je ne voulais pas encore resuvir ceci, mais avais-je le choix ? Non..